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--> Url version détaillée , Url version formatée Structure name contains or id is : "409065;155441;135971;102266;212248;578082", Publication type : "('ART')"
815.
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Evaluating the Performance of Machine Learning Approaches to Predict the Microbial Quality of Surface Waters and to Optimize the Sampling Effort
auteur
Manel Naloufi, Françoise S Lucas, Sami Souihi, Pierre Servais, Aurélie Janne, Thiago Wanderley Matos de Abreu
article
, 2021, 13, ⟨10.3390/w13182457⟩
titre
Heavy Metal Accumulation and Changes in Soil Enzymes Activities and Bacterial Functional Diversity under Long-Term Treated Wastewater Irrigation in East Central Region of Tunisia (Monastir Governorate)
auteur
Marouane Mkhinini, Iteb Boughattas, Vanessa Alphonse, Alexandre Livet, Stéphanie Gıustı-Mıller, Mohamed Bannı, Noureddine Bousserrhıne
article
, 2020, 235, pp.106150. ⟨10.1016/j.agwat.2020.106150⟩
titre
Effect of Aloe Vera Wastes on Physico-Chemical Properties and Microbiological Activity in Soils
auteur
Fatma Lanouar, Iteb Boughattas, Marouene Mkhinini, Vanessa Alphonse, Stephanie Gustier-Muller, Alex Livet, Mohamed Banni, Nourreddine Bousserhine
article
, 2018, 3 (4), pp.1292--1304. ⟨10.22161/ijeab/3.4.21⟩
titre
Influence of Ecological Restoration on Mercury Mobility and Microbial Activities on Former Guyanese Mining Sites
auteur
Ewan Couic, Vanessa Alphonse, Alexandre Livet, Stéphanie Giusti-Miller, Noureddine Bousserrhine
article
, 2021, 11 (5), pp.2231. ⟨10.3390/app11052231⟩
titre
Use of Earthworms Eisenia Andrei on the Bioremediation of Contaminated Area in North of Tunisia and Microbial Soil Enzymes as Bioindicator of Change on Heavy Metals Speciation
auteur
Iteb Boughattas, Sabrine Hattab, Vanessa Alphonse, Alexandre Livet, Stéphanie Giusti-Miller, Hamadi Boussetta, Mohamed Banni, Noureddine Bousserrhine
article
, 2019, 19 (1), pp.296--309. ⟨10.1007/s11368-018-2038-8⟩

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Déplastifions-nous : contribution de Johnny Gasperi le 25 mai 2018

par Daniel Thevenot - publié le , mis à jour le

Pourquoi il est urgent de faire sortir le plastique de votre vie ? Contribution de Johnny Gasperi à l’article de L’Obs du 25 mai 2018

On le trouve dans l’eau, la terre et même dans l’air. Omniprésent, il pourrait perturber notre système hormonal, altérer la croissance, la fertilité, et le QI. Exposé des griefs.

Article de Morgane Bertrand publié le 24 mai 2018 à 18h25

Le plastique, est-il dangereux pour la santé ? Pour les animaux marins, il est mortel : il suffit de regarder les photos chocs de tortues étranglées, de dauphins étouffés, et d’oiseaux ayant gobé ce matériau non biodégradable. Mais rien de tel chez l’homme. Pas de sacs, de bouchons, ou de filets de pêche dans nos solides estomacs ! Et pourtant… Le plastique s’attaque aussi à nous. Mais cette fois, la menace est invisible, et on en connaît très mal les effets.

Déplastifions-nous ! Couverture de l’Obs du 24 - 30 mai 2018
L’Obs

Le plastique, est-il dangereux pour la santé ? Pour les animaux marins, il est mortel : il suffit de regarder les photos chocs de tortues étranglées, de dauphins étouffés, et d’oiseaux ayant gobé ce matériau non biodégradable. Mais rien de tel chez l’homme. Pas de sacs, de bouchons, ou de filets de pêche dans nos solides estomacs ! Et pourtant… Le plastique s’attaque aussi à nous. Mais cette fois, la menace est invisible, et on en connaît très mal les effets.

Microparticules envahissantes

A l’automne dernier, deux études américaines relayées par Orb Média ont révélé la présence quasi systématique de microparticules de plastique (moins de 5 millimètres) dans l’eau minérale (Evian, Nestlé, San Pellegrino…) et dans celle du robinet. Les sources de contamination sont nombreuses, depuis l’abrasion de nos vêtements synthétiques en machine à laver (polaires, gore-tex…) jusqu’aux poussières de bouchon émises lors du processus d’embouteillage.

Poussières qui flottent aussi en masse… dans l’air, comme l’a observé Johnny Gasperi, chercheur à l’université Paris-Est Créteil (Laboratoire Eau environnement et systèmes urbains). « On les retrouve dans les eaux de pluie, dans les lacs alpins, à des tailles toujours plus petites. »

Pas de doute : elles atterrissent aussi dans notre assiette. Et une fois avalées, jusqu’où s’infiltrent-elles ? « Plusieurs études sur les poissons montrent que les microplastiques sont ingérés, mais qu’ils sont ensuite rejetés sans passer dans les chairs », rassure Johnny Gasperi.

Voir en ligne : Article de L’Obs du 25 mai 2018