L’AFP a suivi le périple des macroplastiques le long de la Seine en interviewant Romain Tramoy.
Dans cet article repris dans divers journaux en ligne (TV5Monde, Sciences et Avenir...), il explique que les déchets plastiques ne naviguent pas directement vers la Manche mais restent dans la Seine en passant de berge en berge au gré des marées, parfois pendant plusieurs années.
Les déchets ainsi ballotés font de la Seine une "machine à fabriquer des microplastiques". Ils finissent souvent par s’accumuler dans certaines zones de l’estuaire, créant de "vraies déchetteries".
Les estimations de flux sont de 100 à 200 tonnes de plastique par an qui arrivent à la mer.