Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains (Leesu)

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arcMS: transformation of multi-dimensional high-resolution mass spectrometry data to columnar format for compact storage and fast access
auteur
Julien Le Roux, Julien Sade
article
, 2024, 4 (1), ⟨10.1093/bioadv/vbae160⟩
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Litter in French urban areas—part 1: composition, sources, and spatio-temporal variations on urban surfaces
auteur
Lauriane Ledieu, Romain Tramoy, David Mabilais, Sophie Ricordel, Zoé Bridant, Eric Bouchet, Clémence Bruttin, Bruno Tassin, Johnny Gasperi
article
, 2024, ⟨10.1007/s11356-024-35203-8⟩
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Unraveling Lake Geneva's hypoxia crisis in the Anthropocene
auteur
Laura M V Soares, Olivia Desgué‐itier, Cécilia Barouillet, Céline Casenave, Isabelle Domaizon, Victor Frossard, Nelson G Hairston, Andrea Lami, Bruno J Lemaire, Georges‐marie Saulnier, Frédéric Soulignac, Brigitte Vinçon‐leite, Jean‐philippe Jenny
article
, 2024, ⟨10.1002/lol2.10435⟩
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Quantification Approaches in Non-Target LC/ESI/HRMS Analysis: An Interlaboratory Comparison
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Louise Malm, Jaanus Liigand, Reza Aalizadeh, Nikiforos Alygizakis, Kelsey Ng, Emil Egede Fro̷kjær, Mulatu Yohannes Nanusha, Martin Hansen, Merle Plassmann, Stefan Bieber, Thomas Letzel, Lydia Balest, Pier Paolo Abis, Michele Mazzetti, Barbara Kasprzyk-Hordern, Nicola Ceolotto, Sangeeta Kumari, Stephan Hann, Sven Kochmann, Teresa Steininger-Mairinger, Coralie Soulier, Giuseppe Mascolo, Sapia Murgolo, Manuel Garcia-Vara, Miren López de Alda, Juliane Hollender, Katarzyna Arturi, Gianluca Coppola, Massimo Peruzzo, Hanna Joerss, Carla van der Neut-Marchand, Eelco N Pieke, Pablo Gago-Ferrero, Ruben Gil-Solsona, Viktória Licul-Kucera, Claudio Roscioli, Sara Valsecchi, Austeja Luckute, Jan H Christensen, Selina Tisler, Dennis Vughs, Nienke Meekel, Begoña Talavera Andújar, Dagny Aurich, Emma L Schymanski, Gianfranco Frigerio, André Macherius, Uwe Kunkel, Tobias Bader, Pawel Rostkowski, Hans Gundersen, Belinda Valdecanas, W Clay Davis, Bastian Schulze, Sarit Kaserzon, Martijn Pijnappels, Mar Esperanza, Aurélie Fildier, Emmanuelle Vulliet, Laure Wiest, Adrian Covaci, Alicia Macan Schönleben, Lidia Belova, Alberto Celma, Lubertus Bijlsma, Emilie Caupos, Emmanuelle Mebold, Julien Le Roux, Eugenie Troia, Eva de Rijke, Rick Helmus, Gaëla Leroy, Niels Haelewyck, David Chrastina, Milan Verwoert, Nikolaos S Thomaidis, Anneli Kruve
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, 2024, 96, pp.16215 - 16226. ⟨10.1021/acs.analchem.4c02902⟩
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Microplastic assessment in remote and high mountain lakes of Gilgit Baltistan, Pakistan
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Maryem Mehboob, Rachid Dris, Bruno Tassin, Johnny Gasperi, Muhammad Usman Khan, Riffat Malik
article
, 2024, 365, pp.143283. ⟨10.1016/j.chemosphere.2024.143283⟩

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Urine, le nouvel or vert ? Actu Environnement du 17 janv. 2017

par Daniel Thevenot - publié le , mis à jour le

Urine, le nouvel or vert ? Publication dans Actu Environnement.com du 17 janv. 2017 du reportage réalisé par Universcience.TV

Et si notre corps était une véritable machine à produire de l’engrais ? Chaque jour, l’humanité produirait jusqu’à 7 millions de tonnes d’urine. Une substance organique, riche en azote et en phosphore, qui représente un fertilisant efficace pour l’agriculture.

L’urine est déjà utilisée dans certains pays, notamment en Afrique, pour la culture vivrière. Mais une difficulté se pose pour exploiter cette ressource à grande échelle : comment séparer l’urine des autres eaux usées, toutes mélangées lors du raccordement au tout-à-l’égout. Une solution : la séparation à la source grâce à l’installation de toilettes permettant de distinguer le type de déjections. Cette alternative est pour l’instant au stade expérimental et implique de se détacher de l’habitude du raccordement tout-à-l’égout.

Autre contrainte : l’ammoniaque contenue dans l’urine. Pour cela, un laboratoire Suisse a inventé la nitrification. Un procédé de traitement simple qui permet de stabiliser l’urine et de ne conserver que l’azote et le phosphore sous forme concentrée.

Le secteur agricole ne serait pas seul à bénéficier de la valorisation de cette ressource insoupçonnée. Extraire le phosphore de l’urine permettrait de limiter l’exploitation de mines de phosphate dont les gisements sont limités. D’autre part, prélever l’urine pour en faire de l’engrais permettrait de l’exclure du circuit classique de traitement en station d’épuration et ainsi de réduire la quantité de micropolluants rejetés dans la nature.

Voir en ligne : Article d’Actu Environnement.com fu 17 janvier 2017