L’implication du secteur agricole est cruciale pour « boucler la boucle » des nutriments urbains. Ce sont en effet les agriculteurs qui peuvent le mieux valoriser les nutriments issus des filières de gestion des urines. L’étude sociologique menée par Florent Brun vise à étudier les freins et leviers à l’utilisation de produits dérivés de l’urine humaine comme engrais, du point de vue de la profession agricole. Elle cherche aussi à préfigurer la création de filières de valorisation. Le rapport issu de cette étude, intitulé Freins et leviers à l’emploi de fertilisants à base d’urine humaine en agriculture en Ile-de-France. Rapport de recherche, sera disponible dans les prochaines semaines.